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Affichage des articles du avril 9, 2014

Selon Roberge, les femmes "battues" sont de grosses dépendantes affectives même pas capables de protéger leurs enfants OU l'utilisation de propos sexistes pour dire sa colère et sa déception dans le contexte électoral

Mon titre est un à peu près le résumé du statut facebook de Jonathan Roberge, l'homme qui m'avait bien fait rigoler avec ses capsules humoristiques "Fiston". Cette fois-ci, je ne rigole pas du tout, contrairement aux 3 600 personnes qui ont partagé ce grand rire général sur le dos des femmes victimes de violence conjugale. Mais, on le sait, C'ÉTAIT JUSTE UNE JOKE (ou bien une analogie, une image, une figure de style) . Néanmoins, je conserve mon droit de ne pas en rire et de NE PAS PARTICIPER À LA LÉGITIMATION DE LA VIOLENCE par la culpabilisation, le dénigrement et l'exclusion des personnes victimes de violence. Le statut de Roberge est une métaphore qui fonctionne sur le rapprochement entre deux éléments distincts dont le second sert à donner une image plus complexe, plus conceptuelle, plus fine ou plus poétique du premier (selon l'intention de communication). Dans ce cas-ci, le Québec est l'élément que l'on veut mieux décrire en le rap